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Le Porte-parole du Secteur Démocratique et Populaire (SDP) a renouvelé sa solidarité envers le Premier ministre Ariel Henry. Dans une publication sur X, ce mercredi 17 janvier 2024, celui qui se fait appeler l’avocat du peuple, préconise la poursuite du dialogue politique afin d’aboutir à un consensus pour la tenue d’élections générales dans le pays.
L’idylle entre André Michel et Ariel Henry semble toujours solide. L’ancien opposant farouche du feu président Jovenel Moïse reste convaincu des capacités du neurochirurgien à sortir le pays de la crise politique sans précédent qui le ravage depuis un certain temps.
« La Transition dirigée par le Premier Ministre Ariel Henry prendra fin avec l’organisation des élections et la transmission du Pouvoir Politique aux autorités librement choisies par la Population », a écrit André Michel en signe de solidarité à Ariel Henry notamment à l’approche de la date fatidique du 7 février 2024.
En effet, conformément à l’accord du 21 décembre dont bénéficie actuellement le Premier ministre en fonction, de nouveaux membres politiques devraient être responsables de la gouvernance du pays à la suite des élections. Malheureusement, à l’exception de la création du HCT, aucun autre élément prescrit par l’accord n’a été respecté.
Ainsi, nous approchons du 7 février 2024 sans qu’aucune entente politique n’ait été trouvée jusque-là. Quant à André Michel, représentant du SDP, il invite tous les acteurs politiques et de la société civile à trouver un accord avec le chef du gouvernement afin de mener le pays vers une révision constitutionnelle et l’organisation des prochaines élections.
Après les échecs cuisants enregistrés depuis plus d’un an dans le processus de dialogue politique, le leader du SDP croit fermement que le dialogue politique peut encore aboutir.
« Cela passe nécessairement par l’élargissement de l’HCT, la formation d’un CEP crédible et la mise en place d’un Gouvernement d’Unité Nationale », a-t-il souligné.
André Michel est convaincu que c’est enfin le moment de mettre fin aux disputes et d’emprunter le chemin d’un dialogue franc et sincère.
Entre-temps, une révolution est annoncée dans le pays, dirigée par le chef rebelle Guy Philippe. Des mouvements de revendications et de protestations ont été enregistrés au cours de la semaine. Le leader de Pitit Desalin, Jean Charles Moïse, le chef du parti EDE, l’ancien Premier ministre Claude Joseph, ne jurent que par la démission d’Ariel Henry à la tête du pays et promettent de se joindre aux mouvements populaires visant à renverser le système.