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Dans une correspondance urgente datée de ce vendredi 20 décembre, Alain Auguste, directeur de la Direction centrale de la police administrative (DCPA), a déclaré que la région métropolitaine de Port-au-Prince est placée en état d’alerte maximale. Cette décision intervient en réponse à des informations signalant une série d’attaques terroristes planifiées par des groupes armés.
Mobilisation générale de la Police Nationale d’Haïti
Face à cette menace, tous les policiers du département de l’Ouest ont été convoqués à rejoindre leurs postes immédiatement et jusqu’à nouvel ordre. L’objectif est de mobiliser l’ensemble des effectifs pour contrer une éventuelle escalade de violence et assurer la sécurité des citoyens.
La situation s’est déjà intensifiée, comme en témoigne une attaque armée menée par des membres de la coalition VIV ANSANM contre la base du Corps de la Brigade d’Intervention Motorisée (CBIM) à Clercine. Les agents présents ont riposté pour repousser les assaillants, soulignant la gravité des affrontements dans la capitale.
Un climat de violence croissante
Port-au-Prince fait face à une recrudescence de la violence orchestrée par des gangs armés bien organisés et lourdement équipés. Ces groupes continuent de semer la terreur dans les communautés locales, aggravant un climat d’insécurité déjà préoccupant.
La Police Nationale d’Haïti (PNH) a appelé la population à redoubler de vigilance et à signaler toute activité suspecte afin de soutenir leurs efforts.
La peur gagne la capitale
Les habitants de Port-au-Prince vivent dans une atmosphère d’inquiétude croissante, alors que les forces de l’ordre se préparent à des opérations pour contenir les menaces. Les mesures renforcées visent à protéger les citoyens et à prévenir de nouvelles escalades violentes dans un contexte où l’autorité de l’État reste fragilisée.